Ce n’est pas nouveau : il faut une niaque incroyable pour écrire, réaliser, produire et distribuer un film, entrer dans la jungle des festivals, soigner son image et ses contacts. Etre réalisateur indépendant, c’est être une usine doublée d’un poète.
Au moment où je rentre officiellement à l’école de cinéma, je trouvais plutôt marrant de commencer l’année par une lecture irrévérencieuse : What they don’t teach you at film school (Ce qu’on ne vous apprend pas à l’école de cinéma) de Tiare White et Camille Landau.